Après quelques débuts contrariés à l’académie (l’implication des ados laisse parfois à désirer ;), j’ai longtemps été un spectateur assidu de nos chers théâtres bruxellois : National, Varia, Martyrs, Quat’sous...
Mon compagnon m’a, lui, donné l’occasion d’occuper la scène et de découvrir un véritable esprit de famille au sein d’une troupe amateur (enfin) soudée : nous avons principalement joué des comédies plus ou moins classiques et quelques perles plus rares.
L’appétit venant en mangeant, j’ai cherché à me perfectionner au travers de différents stages portant sur le fond (découpage de la phrase théâtrale) autant que sur la forme (commedia dell’arte, mise en scène, le coryphée, le corps neutre).
Le théâtre est devenu synonyme d’humanité, de la beauté de l’éphémère et rejoint mon goût du voyage : à plusieurs occasions, l’action m’a transporté dans des expériences inédites ; nous étions emmenés par un-e- metteur/se en scène (professionnel-le ou non) vers des destinations inconnues.